Chez Sympa, nous avons décidé d’interviewer Sarah afin qu’elle nous en dise plus sur sa réflexion concernant les préjugés liés au tatouage et à l’intégration professionnelle.
Sarah nous a dit qu’en ce qui concerne l’accueil qu’elle a reçu de ses collègues, tout s’est très bien déroulé. Dès le départ, elle a été acceptée comme une personne normale, ou, comme elle se définit avec enthousiasme, comme une personne “colorée”. Effectivement, elle a récemment eu un entretien avec ses supérieurs et elle a réussi à obtenir le poste de son choix en chirurgie. “De toute évidence, ils n’ont pas laissé mon apparence compromettre mon potentiel”, a-t-elle souligné.
Grâce à son corps artistique, Sarah a plus d’expériences positives que négatives à nous raconter. Mais malgré tout, elle a dû faire face à des situations pénibles. Ça a été le cas par exemple en Australie, où elle et son mari ont été priés de quitter un restaurant. Cela prouve qu’il existe encore des tabous à l’encontre des apparences qui diffèrent des normes communément fixées par la société.