Deux ingénieures italiennes ont découvert un algorithme qui divise par deux le rayonnement absorbé par le corps lors d’un scanner

Deux ingénieures italiennes, Michela D’Antò et Federica Caracò, ont trouvé un algorithme qui leur permettrait de réaliser des scanners avec la moitié du rayonnement actuel. La tomodensitométrie est un examen fondamental dans le diagnostic et le suivi de certaines maladies – pensez à la fréquence à laquelle les patients cancéreux doivent passer un scanner – mais cela implique un prix très élevé à payer : à chaque séance, le corps absorbe une quantité significative de rayons X. Tout pourrait changer grâce à la découverte des deux ingénieures de la Campanie, en Italie.

Les rayons X sont à la base du fonctionnement d’instruments comme la scanographie (tomodensitométrie), indispensable pour le diagnostic de certaines maladies graves mais qui sont nocives pour l’organisme au-delà d’un certain seuil. Si les examens de tomodensitométrie sont fréquents et rapprochés dans le temps, comme c’est le cas pour les patients atteints de cancer, ils peuvent avoir des effets secondaires.

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