Un nouveau-né survit à un avortement : la mère le tient dans ses bras jusqu’à sa mort

Si certaines femmes prennent la décision d’interrompre leur grossesse pour des raisons personnelles, d’autres peuvent se résoudre à recourir à l’avortement pour des risques de maladies congénitales ou chromosomiques. Détectées par des examens pendant la grossesse, les médecins laissent alors le choix à leurs patientes de décider de cette option qui leur appartient. C’est le cas pour Sofia Khan, qui, en avortant, a été hantée par un souvenir dévastateur. La femme qui se réjouissait d’avoir un enfant a choisi délibérément d’avorter et de vivre les dernières minutes de son fils.

Ce diagnostic pessimiste a amené le couple à réfléchir aux issues possibles. Leur discussion a abouti sur la résolution d’interrompre cette grossesse au bout de 25 semaines. Pour les parents, cette décision était salutaire pour l’enfant à naître. « Nous avions le cœur brisé mais nous avons décidé conjointement d’interrompre cette grossesse car nous sentions que c’était mieux pour le bébé. Cette décision a été l’issue de moments de doute mais aussi de culpabilité » se remémore la femme atterrée.

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