Voici pourquoi j’appelle toujours ma mère lorsque je suis malade (même à 40 ans)

A la naissance, nous l’idéalisons et nous la considérons comme notre icône. Mais en grandissant et en forgeant notre personnalité, nous nous rendons compte des fois qu’elle n’est pas aussi parfaite que nous l’imaginions. Ses idées seront différentes des nôtres, ses raisonnements ne correspondront pas à nos argumentations de l’enfant du progrès. Elle nous fera pleurer, elle nous mettra en colère et fera jaillir en nous des émotions inexpliquées. Mais au final, elle demeurera cette mère dévouée, ce trésor….

Parce qu’elle sera toujours fière de nous, peu importe les choix que nous ferons dans la vie. Elle nous laissera toujours cette part du gâteau, en prétextant qu’elle n’a plus faim, car avec le recul, nous comprenons qu’elle se sacrifiait pour nous. Elle nous aimera toujours, malgré nos comportements parfois abjects ; elle nous connaît et anticipera déjà nos réactions. Elle sera notre mentor pour nous inciter à nous dépasser pour réussir. Elle aura toujours une oreille compatissante pour écouter nos problèmes. Elle nous pardonnera toujours nos erreurs. Elle sera toujours la première qu’on appelle pour lui annoncer une bonne nouvelle. Mais elle sera aussi la première qu’on sollicite quand nous sommes fatigués, même à 40 ans…

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