Des chercheurs américains estiment que l’urine peut être utilisée comme engrais. Selon eux, le liquide ne présente pas de risques d’émergence de micro-organismes résistants aux antibiotiques au niveau des plantes cultivées.
Dans le cadre de leur étude, les chercheurs ont analysé pas moins de 100 litres d’urine issus de donneurs vivant dans l’état du Vermont. L’urine a été stockée entre 12 et 16 mois, ce qui a permis la formation d’ammoniaque. Par la suite, les scientifiques y ont introduit des gènes résistants à plusieurs antibiotiques (tétracycline et ampicilline). L’objectif ? Vérifier si l’ADN allait être absorbé par l’Acinetobacter baylyi, une bactérie présente dans les sols.
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