Dans les grandes villes de Chine, l’air est désormais plus respirable. La raison de cet assainissement n’est autre que l’arrêt des activités industrielles et la réduction des transports depuis l’arrivée de l’épidémie de coronavirus Covid-19.
L’exemple donné est celui de la ville de Shanghai où le taux de PM2,5 était de 100 μg/m3 en moyenne en février 2020 contre 135 μg/m3 en février 2015. Concernant les PM10, nous sommes à 36 μg/m3 contre 61 μg/m3 pour les mêmes dates. Même constat concernant le dioxyde d’azote (NO2) : 9 μg/m3 contre 19 μg/m3. À l’échelle de la Chine, les taux de particules fines ont chuté avec 139 μg/m3 le 12 février 2020 contre 55 μg/m3 le 15 février !
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