Cette expérience scientifique a été publiée pour les professionnels avant d’être vérifiée par un comité de lecture. Plusieurs experts ont émis des doutes concernant ses conclusions, notamment en raison de la méthode utilisée pour obtenir ces résultats. Selon ces derniers, l’utilisation d’un nébulisateur ne reproduit pas de manière exacte les éternuements et la toux d’une personne contaminée par le virus. Ainsi, cette technique pourrait accentuer artificiellement l’effet de la contamination par voie aérienne.
Par ailleurs, le coronavirus se transmet par des micro-gouttelettes qui sont expulsées par les malades lorsqu’ils toussent ou qu’ils éternuent. Ces particules, différentes des traces d’aérosol, ne peuvent survivre que durant quelques secondes, précise BFMTV.