La glace de mer arctique est fortement affectée par le cycle saisonnier. Elle atteint habituellement son extension maximale annuelle en mars et son extension minimale annuelle en septembre. Sur la période 1981-2010, elle passait ainsi d’environ 15 millions de km² en fin d’hiver à 6 millions de km² en fin d’été. Une modulation saisonnière de près de 9 millions de km².
Au fil des années et des décennies, les surfaces maximale et minimale occupées par la banquise tendent à diminuer en lien avec le réchauffement du climat. Le recul observé au mois de septembre est par exemple estimé à -12,8 % par décennie.
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