Des chercheurs britanniques ont développé un système doté d’une intelligence artificielle. L’objectif ? Prédire les niveaux de pollution atmosphérique plusieurs jours à l’avance, ce qui laisserait le temps de mettre en place des dispositifs de prévention.
L’IA pourrait permettre une meilleure compréhension des facteurs météorologiques, saisonniers et environnementaux. Il s’agit de mieux cerner l’origine de ces particules ainsi que leur niveau. Il est également question d’identifier la période de l’année où celles-ci sont le plus présentes. Pour les chercheurs, ceci permettrait de mettre en place un crédit-carbone, un concept basé sur celui du pollueur-payeur. En dépassant les limites, les industriels devront acheter des crédits supplémentaires. Toutefois, en cas de “bonne conduite”, ces mêmes industriels pourront faire des bénéfices grâce à leurs crédits en trop.