La libération de méthane par les zones humides pourrait augmenter de 50 % à 80 % d’ici 2100

Si aucune action de long terme n’est prise pour limiter le réchauffement climatique, les émissions de méthane issues des zones humides menacent de s’intensifier notablement d’ici la fin du siècle. Un processus qui accentuerait encore un peu plus la hausse des températures. C’est en tout cas ce qu’appuie une étude publiée le 10 avril dernier dans la revue Science Advances.

De par les rejets de gaz à effet de serre (GES) qu’elle occasionne, l’activité humaine induit un réchauffement global du climat. Les trois gaz les plus notables sont le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O). Par commodité, on résume souvent le chauffage additionnel du système climatique par le seul effet dû à l’excès de CO2.

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