L’existence d’au moins trois types de coronavirus ne représente pas une grande nouveauté dans le domaine scientifique. Pour autant, elle constitue une avancée dans l’étude génomique du virus. Cette confirmation permet de planifier les futurs plans d’urgence en cas de nouvelles pandémies.
Chaque fois que le COVID-19 est arrivé dans un pays, on a effectué des tests génomiques pour déchiffrer le génome du virus y circulant. C’est une pratique courante et attendue dans les situations d’épidémie.
Les autorités sanitaires peuvent ainsi confirmer qu’elles ont affaire à la même souche que le reste du monde. De la même manière, cela permet de suivre l’évolution éventuelle des particules virales. Ces changements sont partagés au sein de la communauté scientifique pour surveiller l’épidémie.