Le monde perd beaucoup d’insectes, mais il y a de l’espoir

De nouvelles recherches confirment le déclin massif des insectes, mais une tendance nous montre que les politiques locales de protection des écosystèmes sont capables de faire la différence.

Une nouvelle étude publiée dans la revue Science confirme aujourd’hui la tendance, mais émet quelques nuances. Ces travaux, qui compilent les données extraites de 166 études menées entre 1925 et 2018 sur 1 676 sites, suggèrent en effet que le rythme de déclin des insectes n’est pas hétérogène. Dans certains espaces, les chercheurs ont même souligné des tendances positives.

À titre d’exemple, on apprend que le monde perd en moyenne plus de 9 % d’insectes terrestres par décennie, tandis que les populations d’insectes d’eau douce, tels que les moucherons ou les éphémères, ont augmenté en moyenne de 11 % par décennie.

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