«Ma santé physique et mentale ne peuvent plus être assurée par le CHSLD ni par le CISSS»

Alors que la situation dans les résidences pour ainés est toujours critique, une infirmière volontaire dans un CHSLD explique pourquoi elle a mis fin à son expérience. Un témoignage bouleversant qui est en train de faire le tour de la province.

C’est en naviguant sur Facebook qu’on est tombé sur le témoignage de Nadia Lambert, une infirmière et enseignante qui forme les futurs préposés aux bénéficiaires. Pour apporter son aide dans cette crise sanitaire, elle est allée prêter main-forte volontairement dans un CHSLD code rouge, ce qui signifie que 25% ou plus des résidents d’un établissement ont contracté le coronavirus. Elle a décidé de briser le silence sur son expérience en expliquant les atrocités qu’elle a vécues, mais aussi pourquoi elle a décidé de mettre fin à son aide. «Malheureusement, j’ai dû mettre fin à mon volontariat, car ma santé physique et mentale ne peuvent plus être assurée par le CHSLD ni par le CISSS», confie-t-elle.

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