Pour trouver une vie extraterrestre, nous devrions considérer les mondes riches en hydrogène

La vie extraterrestre pourrait survivre dans une plus grande variété de mondes que ce que l’on pensait auparavant, d’après une étude.

Dans le cadre de récentes expériences, Seager et son équipe ont cherché à savoir si les levures et les bactéries E Coli, des microbes bien connus, pouvaient survivre dans des atmosphères différentes.

Toutes les quelques heures, les chercheurs prélevaient des microbes avec une aiguille hypodermique pour compter les survivants.

Si le groupe de contrôle a sans surprise davantage prospéré dans l’atmosphère terrestre d’origine, il est tout de même ressorti que la bactérie E. coli (représentative des micro-organismes procaryotes) et la levure (représentative des micro-organismes eucaryotes les plus complexes) s’étaient également reproduites, quoiqu’à un rythme plus faible (2 fois et 2,5 fois plus lentement, respectivement).

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