Avec la chlorpromazine, des chercheurs veulent enfermer le Covid-19 dans une “camisole chimique”

Incarnant historiquement le premier médicament antipsychotique, la chlorpromazine fait actuellement l’objet d’un grand intérêt au sein d’un hôpital parisien. En effet, de premier tests se sont montrés encourageants, conduisant les chercheurs à plancher sur un prochain essai clinique sur des patients Covid-19.

Comme l’explique Le Parisien dans un article du 5 avril 2020, un énième médicament apparaît sur la liste des nombreuses recherches en cours dans la lutte contre le Covid-19. Il s’agit de la chlorpromazine, le plus ancien neuroleptique connu, utilisé dès les années 1950. Enfermer le Covid-19 dans une “camisole chimique”, telle est l’idée des médecins de l’hôpital Sainte-Anne à Paris. Rappelons que, dans un premier temps, la science n’a pas pris au sérieux la possibilité d’élaborer un traitement à base de chlorpromazine. Toutefois, il semble que la question soit à nouveau d’actualité.

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