Une journaliste du Journal de Montréal a prêté main forte dans une ressource intermédiaire pour personnes en perte d’autonomie de la Rive-Nord de Montréal au début du mois de mai. Elle avait travaillé dans une ressource semblable comme préposée aux bénéficiaires en 2007. La journaliste avait déjà sonné l’alarme sur le manque criant de personnel et les salaires insuffisants de ceux qui travaillent auprès de ces personnes vulnérables.
« Ça ne va pas très bien parce qu’il nous manque du monde », avoue la journaliste, ébranlée, dans la vidéo.
La directrice de l’établissement avoue qu’elle dort sur place, quand elle arrive à s’endormir. Elle doit travailler 20 heures par jour, selon elle.
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