Une étude confirme les risques liés à Alzheimer en cas d’excès d’aluminium

Il y a quelques années, un chercheur britannique estimait qu’il fallait limiter l’exposition des personnes à l’aluminium. Dans une nouvelle étude, ce même chercheur apporte de nouvelles preuves sur le fait que l’aluminium favoriserait le développement de la maladie d’Alzheimer.

Selon les résultats, 42 % des tissus ont été considérés comme pathologiquement significatifs. Par ailleurs, la microscopie à fluorescence a permis d’observer que l’aluminium et la protéine bêta-amyloïde se concentraient dans les plaques séniles et parfois dans le système vasculaire cérébral. De plus, les résultats ont été comparés avec ceux d’un groupe témoin de patients n’ayant pas de maladie neurologique.

Enfin, le Dr Exley est formel : en l’absence d’aluminium, pas de maladie d’Alzheimer. Par ailleurs, si le corps élimine naturellement l’excédent d’aluminium, ce matériau reste tout de même dans le cerveau, les os, les nerfs mais également le foie et les muscles. Rappelons que l’aluminium s’accumule jusqu’à un seuil de toxicité insupportable pour les neurones, causant des maladies dégénérative comme Alzheimer.

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