La biodiversité de l’océan intermédiaire et profond se révèle plus sensible à lâélévation des températures que ce que l’on pouvait penser. C’est en tout cas ce que rapporte une étude parue le 25 mai dernier dans la revue scientifique Nature Climate Change.Â
Le rejet croissant de gaz à effet de serre (GES) par les activités humaines induit une accumulation dâénergie dans le système climatique. Toutefois, seulement 1 % de celle-ci contribue à réchauffer lâatmosphère. Lâessentiel – plus de 90 % – sert à chauffer lâocéan. Ce dernier agît ainsi comme un thermostat. Plus précisément, il vient tempérer lâamplitude des évolutions thermiques à grande échelle.
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