Faire don de son corps à la science pour les crash-tests, bientôt impossible en France ?

En France, une vingtaine de cadavres sont utilisés chaque année dans le cadre de crash-tests. Cette pratique est légale dans notre pays ainsi qu’aux États-Unis, dont celle-ci est originaire. Si la recherche en accidentologie est très importante, le seul organisme européen travaillant dans ce domaine pourrait bientôt disparaître.

Il y a une vingtaine d’années, le Centre européen d’étude de sécurité et d’analyse des risques (CEESAR) a passé une convention unique en Europe avec le centre de don du corps à la Science de l’Université Paris-Descartes. Toutefois, ce centre de don a fermé en novembre 2019 en raison de conditions indignes de préservation et d’utilisation des corps. Le Journal International de Médecine a d’ailleurs commenté le rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) ce 17 juin 2020.

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