Une histoire chaleureuse qui nous montre que les proches sont ce que nous avons de plus cher au monde même si nous en avons parfois honte

Chez Sympa, nous avons lu cette histoire avec les larmes aux yeux et nous pensons que quelque chose du genre aurait pu arriver à n’importe qui d’entre nous sans même que nous nous en rendions compte.

Nathalie a commencé à avoir honte de sa mère Sarah à l’âge de treize ans. Elle grandissait et s’intéressait de plus en plus à toutes sortes de trucs féminins “adultes”, et c’est à cette époque qu’elle a remarqué que sa mère n’était pas tout à fait comme les autres femmes de leur assez gros village.

Sarah ne s’intéressait ni à la mode, ni au maquillage, et ses mains n’ont jamais su ce qu’était la manucure. Elle avait un langage simplet, “campagnard”, comme disait Nathalie. Sarah avait un manque d’éducation, et la profession qu’elle exerçait était une “honte” totale : elle travaillait comme éleveuse de volailles.

Depuis lors, Nathalie a vu naître en elle un énorme désir de déménager en ville, de grandir le plus vite possible et de se débarrasser du moindre souvenir de son enfance au village, de s’en libérer définitivement. Elle grandissait et devenait une jeune fille intelligente et travaillait bien à l’école. Ce sont sûrement les gênes de son père inconnu qui l’y ont aidée. Un jour, Nathalie a demandé à sa mère de lui parler de son père biologique.

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