Il s’appelait Philippe Monguillot, il était père de famille et travaillait comme chauffeur de bus. Le 5 juillet dernier, trois hommes dans la vingtaine sont montés à bord de son bus, accompagnés d’un chien. Une quatrième personne les rejoint à l’arrêt « Balishon ».
Il est violenté et roué de coups de pieds et de poings sur la poitrine et la tête, laissant le conducteur au sol, ensanglanté. Aidé par d’autres personnes, le quinquagénaire essaye tant bien que mal de marcher mais il s’écroule sur le dos et tombe. Philippe Monguillot a été transporté à l’hôpital en état de mort cérébrale où il est décédé le 10 juillet.
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