La situation se répète parce que, d’une part, la pathologie est l’une des plus fréquentes dans la pratique ambulatoire générale au niveau mondial. D’autre part, les antibiotiques se sont avérés être le moyen le plus efficace de contrôler ce trouble et d’éviter les complications.
Bien qu’elle soit moins fréquente chez les hommes, une complication résultant de leur manque d’attention est la prostatite chronique. Beaucoup d’hommes commencent par des symptômes urinaires qu’ils ne considèrent pas pertinents ; par conséquent, les bactéries colonisatrices migrent vers la prostate et s’y installent jusqu’à provoquer une inflammation grave.
En ce qui concerne l’âge, le vieillissement s’avère être un facteur de risque. Les femmes après la ménopause et les hommes âgés en maison de retraite ont une forte probabilité d’être infectés.