Projeter un faisceau d’électrons sur des combinaisons spatiales pourrait décoller les particules de poussière abrasives retrouvées sur la Lune. La technique pourrait s’avérer très utile dans le cadre des futures missions ARTEMIS.
Depuis les missions Apollo, nous savons que le principal danger, lorsque vous êtes sur la surface lunaire, c’est le régolithe. Il s’agit, très grossièrement, de minuscules fragments de micrométéorites ressemblant à du verre. Ces particules de poussière sont particulièrement collantes et très abrasives.
Il n’aura échappé à personne que la NASA souhaite retourner sur la Lune dans le cadre du programme Artemis. L’agence américaine compte évidemment s’appuyer sur le type d’expérience essuyée par Schmitt pour faciliter la vie des futurs astronautes envoyés sur place.