Les médecins mettent en garde contre la deuxième vague “plus critique, plus précoce, plus forte” que la première

“On est le nez face au mur de la réalité”, indique le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Tenon à Paris. “C’est plus critique, plus précoce, plus fort, et plus impactant pour la vie de l’hôpital”, ajoute-t-il. Pour lui, la situation est bien plus sévère qu’au printemps dernier. “La circulation du virus est hors de contrôle”, martèle-t-il.

Selon l’épidémiologiste Dominique Costagliola, le pays va probablement afficher des taux similaires à ceux du mois de mars, mais cette deuxième vague pourra atteindre “un niveau plus important” et pendant “plus longtemps”. De ce fait, le bilan humain risque d’être encore plus élevé que lors de la première vague de l’épidémie.

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