Climat : l’effet refroidissant de la pollution aux aérosols revu à la baisse

Des chercheurs ont trouvé que les particules de pollution interagissaient de façon plus complexe qu’attendue avec les nuages bas. En particulier, l’effet refroidissant estimé jusqu’à présent serait fortement surestimé – jusqu’à 200 %. De nouvelles données qui pourront entre autres servir à l’amélioration des modélisations climatiques. Les résultats ont été publiés dans la revue Science le 29 janvier dernier.

Deux grandes sortes de composés sont émis dans l’atmosphère par les activités humaines. Des gaz à effet de serre tels que le dioxyde de carbone (CO2) ou le protoxyde d’azote (N2O) et de petites particules solides ou liquides que l’on appelle des aérosols. Or, ces deux types de composés ont des influences diamétralement opposées sur le système climatique.

Lire la suite sur SciencePost