Un propriétaire accepte de louer un appartement au prix minimum pour aider une mère divorcée

Le Canada vit l’un des moments les plus florissants dans le domaine de l’immobilier ; entre achats et locations, le pays nord-américain semble répondre à la crise économique par une demande inexplicable de biens immobiliers pour s’assurer une vie future confortable et sûre. C’est pourquoi de nombreuses personnes travaillant dans ce domaine pourraient facilement profiter de cette situation et devenir des spéculateurs immobiliers cupides, sans tenir compte des besoins réels des personnes qui souhaitent acheter une maison…

Heureusement, il y a des personnes comme Damian Devonish, un ancien immigré de la Barbade qui, huit ans plus tôt, a déménagé au Canada et, de là, a refait sa vie, devenant thérapeute et propriétaire de quelques biens immobiliers ; mais au début, tout n’a pas été rose pour lui : “Je n’avais vraiment pas beaucoup d’argent quand je suis arrivé au Canada. J’ai eu du mal à trouver un emploi parce que j’avais besoin d’une voiture pour me déplacer, jusqu’à ce que je la trouve grâce à un vendeur qui me l’a vendue à un prix inférieur de 500 dollars à l’original, parce qu’il voulait m’aider.”

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