De nouveaux travaux montrent qu’en Arctique, la fréquence des orages a été démultipliée au cours de la dernière décennie. À cet égard, le nombre d’impacts de foudre relevés en 2020 était 800 % plus élevé que celui observé au début des années 2010. Les résultats ont été publiés dans la revue Geophysical Research Letters ce 22 mars.
Lorsque l’on s’intéresse aux phénomènes orageux, les dernières régions du globe auxquelles on viendrait à penser sont les zones polaires nord et sud. En effet, le climat froid et la grande stabilité de l’atmosphère à ces latitudes inhibent très fortement les processus de convection à l’origine des orages.
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