À la fin du mois de février dernier, une étudiante de l’UQAM a fait couler beaucoup d’encre après avoir publié sur les médias sociaux des photos de finissante très osées. L’université a décidé de la poursuivre et de lui réclamer 125 000 $ pour ces images jugées «indécentes ou pornographiques».
«Il n’y a pas de doute que l’utilisation du nom et du sigle de l’UQAM (…) vise à donner une valeur ajoutée à son commerce en ligne de photos indécentes ou pornographiques», a confié à La Presse Me Raymond Doray, qui représente l’université dans cette affaire.
L’établissement scolaire demande une injonction donnant l’ordre à Helene Boudreau de retirer des médias sociaux ses photos de finissante et lui réclame 100 000 $ pour «atteinte à sa réputation» ainsi que 25 000 $ en «dommages punitifs».