Des diplômées dévoilent beaucoup de peau pour soutenir la finissante poursuivie par l’UQAM

Alors que l’UQAM réclame 125 000 $ à Hélène Boudreau pour la diffusion sur les médias sociaux de photos de finissantes jugées «indécentes ou pornographiques», des diplômées dévoilent, à leur tour, beaucoup de peau pour soutenir la jeune femme de 29 ans. 

«Papa Uqam, tu dois comprendre que tes étudiant-es ont des corps, ont des sexualités et que pour plusieurs d’entre nous, le corps nourrit le travail intellectuel. Il n’y a pas de séparation entre mon esprit de chercheuse et mon corps. Ils sont indissociables», peut-on notamment lire dans une publication sur le compte Instagram de Cato Fortin, lauréate de la bourse Joseph-Armand-Bombardier. 

Elle est également l’une des instigatrices du mot-clic #papauqam qui consiste à dénoncer  l’«hypocrisie» de l’université dans l’affaire Hélène Boudreau en publiant des photos en tenue légère avec logo de l’UQAM ou leur diplôme. 

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