Radio-Canada rapporte l’histoire de Pascale Clavel, une travailleuse de la santé de 50 ans qui a été violemment frappée par le variant britannique alors qu’elle avait déjà reçu une première dose du vaccin Pfizer-BioNTech et se croyait protégée contre la COVID-19.
«J’ai été déclarée positive au travail, lors d’un dépistage aléatoire, le 31 mars. Les symptômes sont apparus le soir même. Au début, ce n’était que de la fatigue et un mal de gorge», raconte celle qui est préposée aux bénéficiaires à la Cité-de-la-Santé, à Laval.
Par la suite, son état de santé va se dégrader rapidement. «Le 1er avril, j’ai commencé à être confuse, je cherchais mon souffle. Le 2 avril, je n’étais plus capable de me lever du lit, exténuée, incapable de lever le bras», se souvient-elle.