La réponse des nuages bas aux aérosols est plus complexe que prévue

De nouveaux travaux mettent en exergue la complexité de la réponse des nuages bas aux particules de pollution. L’étude, parue le 26 avril dans la revue Atmospheric Chemistry and Physics, est la première à évaluer la temporalité de la relation aérosols-nuages sur la base de données observationnelles.

Les activités humaines émettent deux grandes catégories de composés dans l’atmosphère. Des gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone (CO2) ou le méthane (CH4) et de petites particules solides ou liquides que l’on appelle des aérosols. Or, si les premiers induisent un réchauffement du climat, les seconds participent au contraire à le refroidir en augmentant, directement ou non, le pouvoir réfléchissant de l’atmosphère.

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