Des jeunes transgenres en grande détresse pendant la pandémie

Alors que deux jeunes Québécois transgenres ont récemment mis fin à leurs jours, des organismes s’inquiètent de la détresse qui connaît une hausse avec la pandémie, rapporte La Presse, qui cite l’organisme Aide aux trans du Québec (ATQ). 

xx, raconte à La Presse Élira St-Onge, femme transgenre et soeur de Jasmine St-Onge Joly, qui s’est suicidée en octobre dernier à l’âge de 27 ans, six mois après avoir commencé sa transition. 

Quelques mois plus tard, son ami et ex-copain, Victor Bergeron, non binaire et qui se posait des questions sur son identité, a également mis fin à ses jours. 

« Jasmine, je l’ai pris personnel. La personne trans la plus proche de moi est partie et je n’ai pas pu l’en empêcher. Victor, ça m’a mise à terre car je ne l’ai pas vu venir », dit Élira St-Onge. Elle ajoute que chaque fois après le décès d’une personne transgenre, elle pense automatiquement que la personne a mis fin à ses jours. « On ne s’habitue jamais », dit-elle au quotidien montréalais. 

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