Alors que la Santé publique a annoncé que le vaccin d’AstraZeneca
ne serait plus administré comme première dose aux Québécois et aux
Québécoises, de nombreuses personnes qui l’ont déjà reçu ont
souhaité faire part de leur mécontentement, rapporte Le Soleil.
L’annonce du
gouvernement au sujet de sa décision de ne plus administrer
l’AstraZeneca comme première dose a provoqué plusieurs Québécois
et Québécoises, dont Nicole Laniel, une femme de 65 ans de
Montréal, qui a expliqué au journal Le Soleil : « Je me
sens flouée. Avoir su, j’aurais attendu pour un autre vaccin. […]
Quand mon groupe d’âge s’est ouvert, on nous disait de nous
dépêcher à se faire vacciner, car plus les gens de 65 ans et plus
seraient vaccinés, plus on pourrait permettre d’assouplir les
mesures. Ça ne me tentait pas de l’avoir ce vaccin-là, mais on se
sentait aussi égoïste de ne pas le prendre mon mari et moi. »