La première relation amoureuse à l’adolescence peut faire envisager une jeune fille d’avoir sa première expérience sexuelle. Cet événement fondamental est un souvenir décisif chez la fille, qu’il s’agisse de bonnes ou de mauvaises circonstances. Pour un parent, c’est également une source de préoccupations car le premier rapport sexuel est une étape dans laquelle il faut jouer un rôle d’accompagnateur et dialoguer sans tabou avec l’adolescent.
Pour éviter que les résultats de cette recherche soient non exhaustifs, les chercheurs ont pris en compte de nombreux facteurs pour mieux comprendre l’âge pour faire l’amour pour la première fois. Les scientifiques ont ainsi mis sur la balance des critères génétiques mais aussi exogènes tels que le niveau de croyances religieuses, le niveau socioprofessionnel, le fait d’avoir souvent des relations amoureuses. Ceux qui ont évalué ce phénomène sociétal se sont aussi intéressés à d’autres facteurs tels que l’apparence physique ou l’indice de masse corporelle (IMC). Des éléments qui peuvent entraver la sexualité des jeunes gens. Selon cette étude, le groupe qui a eu un début de sexualité « tardif » a moins de partenaires et ont des chances de se marier. Une analyse qui paraît pessimiste mais en est tout autre en réalité puisque cette catégorie semble bien être la plus chanceuse.