En France, on recense un enfant qui décède tous les cinq jours suite aux violences perpétrées par ses propres parents. La maltraitance infantile est considérée comme un fléau sociétal qui est souvent vécu à huis clos et cause des dégâts irréversibles dans certains cas. Envahis par un sentiment de honte, de peur ou encore de déni, l’enfant soumis à une forme de violence a souvent du mal à parler de sa souffrance. Au Brésil, un couple d’homosexuelles a amputé les parties génitales d’un enfant avant de le tuer.
Si les violences physiques et sexuelles sont médiatisées, la maltraitance parentale est souvent tue. Pourtant, frapper, faire du chantage, humilier ou gifler son enfant sont autant de gestes qui peuvent avoir des répercussions physiques, psychologiques et sociales.