Aucun espoir de vie “telle qu’on la connait” dans les nuages ​​de Vénus

La quantité d’eau dans l’atmosphère de Vénus est si faible que même les microbes terrestres les plus tolérants à la sécheresse n’auraient aucune chance, avance une étude. En revanche, il y a encore un (mince) espoir pour Jupiter.

Dans le cadre de ces travaux, le microbiologiste John Hallsworth et son équipe de l’Université Queen’s de Belfast (Irlande du Nord) ont récupéré les mesures de sondes ayant survolé l’atmosphère de Vénus pour analyser les données relevées sur la température, l’humidité et la pression dans les épais nuages ​​​​d’acide sulfurique enrobant la planète.

À partir de ces valeurs, les scientifiques ont pu calculer “l’Activité de l’eau”, ou la pression de vapeur d’eau à l’intérieur des molécules individuelles dans les nuages, qui est l’un des facteurs limitants de l’existence de la vie sur Terre. Pour cette activité, qui est mesurée sur l’échelle de 0 à 1, la valeur de survie la plus basse est de 0,585. Or, le niveau enregistré dans les molécules des nuages ​​vénusiens n’est que de 0,004.

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