Alors que Pfizer-BioNTech demande les autorisations pour administrer une 3e dose de son vaccin, des experts estiment que cela n’aiderait pas à lutter contre la propagation de la COVID-19, au moment où plusieurs jeunes Québécois tardent à recevoir le vaccin, rapporte Le Journal de Montréal.
« Avec l’emphase qu’on a mise sur les effets secondaires, il y en a qui vont dire: avant d’aller me faire vacciner une autre fois, ça va me prendre des évidences assez fortes que j’ai besoin de ça », fait savoir au quotidien montréalais Benoît Mâsse, professeur à l’École de santé publique de l’Université de Montréal.
« Ça pourrait un peu décourager la population », ajoute de son côté Kevin L’Espérance, épidémiologiste et biochimiste.
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