De nouveaux travaux suggèrent qu’environ 7% de notre génome est unique à notre espèce, et donc non partagé avec nos anciens cousins néandertaliens et dénisoviens. En outre, une fraction encore plus petite de notre génome est actuellement partagée par tous les humains modernes.
Qu’est-ce qui distingue les humains modernes des autres espèces humaines d’hominidés éteintes ?
Autrement dit, qu’est-ce qui rend les humains uniques ? Des chercheurs franchi une nouvelle étape vers la résolution de ce mystère en développant un nouvel outil : le Speedy Ancestral Recombination Graph Estimator (SARGE). Ce dernier favorise les comparaisons entre l’ADN des humains modernes et celui de nos ancêtres disparus (en prenant en compte les données manquantes dans les génomes anciens).