Lorsqu’elle a 29 ans, on lui diagnostique des ovaires polykystiques, un déséquilibre hormonal qui peut, entre autres, provoquer une pousse anormale ou abondante de poils.
Pendant la période du confinement, Bethany décide qu’elle n’a plus envie de se les épiler, qu’elle est plus heureuse en les laissant pousser et en les assumant : « C’est grâce à la pandémie et au fait d’être dans l’intimité de ma propre entreprise que j’ai commencé à faire pousser mes poils du menton. Je me sentais en sécurité de le faire sans que les autres me voient. Plus je regardais et touchais les poils de mon visage et de mon cou, plus je réalisais qu’ils étaient une partie magnifique de moi et que je pouvais me sentir bien et fière de mon apparence. »
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