Et si la pollution influait le sexe-ratio à la naissance ?

Une étude récente indique que la proportion de nouveau-nés garçons et filles aurait davantage un rapport avec les métaux lourds présents dans l’air et l’eau plutôt qu’avec les saisons, les aléas climatiques et autres facteurs sociaux.

L’étude en question est fondée sur deux bases de données importantes. La première représente environ la moitié de la population des États-Unis, soit 150 millions de personnes et plus de trois millions de bébés nés entre 2003 et 2011. La seconde concerne la population de la Suède dans son ensemble, soit dix millions de personnes, dont les 3,25 millions de naissances dans le pays entre 1983 et 2013.

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