Dans l’étude, les personnes davantage affectées par l’ocytocine ont été plus généreuses en faisant des dons à des œuvres de charité, même lorsqu’elles ne savaient pas à qui elles donnaient et sans qu’on les remercie en retour. Cela montre que ceux qui éprouvent de l’empathie, sont plus gentils et désintéressés.
L’étude a révélé que les gens qui pleurent pendant les films peuvent plus facilement se mettre à la place de l’autre pour vivre une réalité qui n’est pas la leur. Ces personnes suspendent volontairement le scepticisme pour mieux se plonger dans l’histoire.
Ainsi, vivre et ressentir la douleur d’une autre personne nécessite d’être fort émotionnellement, ce qui rend ces personnes particulièrement résiliantes. Même si elles pleurent pendant les films, elles ont tendance à se relever plus rapidement, ce qui finit par les rendre plus fortes.
