États-Unis : une étude illustre la chute du nombre de traînées de condensation en 2020

« L’algorithme ne sait rien de l’endroit où les avions volent, et pourtant, lors du traitement de l’imagerie satellitaire, il a abouti à des itinéraires de vol reconnaissables », explique Steven Barrett, un des coauteurs de l’étude. « C’est un élément de preuve qui indique que cette méthode identifie réellement les traînées de condensation à grande échelle ».

Les chercheurs espèrent désormais tirer parti de leur méthode pour anticiper où et quand des traînées de condensation sont susceptibles de se former et adapter les itinéraires de vols en conséquence. Le but ? Diminuer la contribution de l’aviation au réchauffement climatique. En effet, en limitant la déperdition de chaleur terrestre vers l’espace, cette nébulosité d’altitude provoque un supplément d’effet de serre qui participe à l’accroissement des températures mondiales.

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