Médecine douce : quels remboursements attendre de la Sécurité sociale ?

La médecine dite « douce » (également appelée médecine alternative) englobe un ensemble de pratiques alternatives à l’allopathie (qui utilise des médicaments à base de molécules chimiques). Cela englobe par exemple la naturopathie, l’ostéopathie, la sophrologie, l’acupuncture, l’étiopathie, la chiropractie, la diététique, la thalassothérapie ou encore l’homéopathie, autant de techniques qui peuvent être employées en prévention des maladies ou en complément (voire en remplacement dans certains cas) des thérapies classiques. Mais lorsque l’on souhaite y avoir recours, quelle est la prise en charge de la Sécurité sociale ? Existe-t-il des remboursements pour la médecine douce ?

Du côté des mutuelles, la prise en charge n’est pas non plus illimitée. Il convient donc de vous renseigner en amont sur l’offre dont vous bénéficiez auprès de la vôtre (quitte à demander des devis auprès de plusieurs organismes pour pouvoir comparer). Rappelez-vous toutefois que du fait du non-remboursement des médecines alternatives dans la grande majorité des cas, le remboursement de votre mutuelle ou complémentaire santé ne s’exprimera pas en pourcentage d’un quelconque tarif de convention. On parlera ici toujours de forfaits. Vous pourrez alors bénéficier d’un forfait annuel (avec un montant maximal annuel) ou un forfait à la séance en euros par séance (avec une limite du nombre de séances remboursables).

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