Selon une étude publiée dans la revue Cognitive Processing, l’intelligence joue un rôle important dans l’appréciation de l’humour noir, qui aborde plusieurs thèmes sensibles comme la guerre, la mort ou la maladie.
Une équipe de chercheurs dirigée par Ulrike Willinger, de l’Université de médecine de Vienne, a interrogé 156 personnes, des hommes et des femmes âgés en moyenne de 33 ans et issus de divers horizons éducatifs.
Un exemple particulier montre un couple auquel un professionnel de la santé s’adresse, la femme dans ce cas étant enceinte. Le médecin généraliste leur dit alors « Pour commencer, voici la bonne nouvelle : votre enfant trouvera toujours une place de parking ».
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