Ils se disent « oui » devant l’autel du jardin botanique de Gibraltar, pour étant il est évident que d’entrée de jeu, les jeunes mariés rencontrent quelques blocages.
Jennifer, qui traine de sacrées casseroles, a du mal à accorder sa confiance à un homme. Elle a du mal à à être tactile avec son mari. Pire encore, elle ne partage même pas son lit et fait chambre à part pendant la nuit de noces. Le jeune marié accepte de dormir sur le sofa, face à la caméra. On l’entend se défendre : « Nous sommes mariés maintenant, ma place est dans le lit conjugal, pas sur le canapé« . Froide, distante, dépourvue de toute forme de tendresse, Jennifer ,impose de sacrées barrières dès le début.
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