L’apparition d’un trou d’ozone n’est pas limitée au pôle sud. En 2011 et 2020, un important déficit est également apparu en fin d’hiver au-dessus du pôle nord. Or, à chaque fois que la teneur en ozone a chuté, un schéma particulier d’anomalies météorologiques s’en est suivi au niveau hémisphérique, ce qui a soulevé la question d’une possible relation de cause à effet.
Si les études effectuées jusqu’à présent ont abouti à des conclusions contradictoires, les résultats récemment obtenus par une équipe de chercheurs suisso-américaine mettent pour la première fois en lumière la nature du lien entre ces anomalies météorologiques et le déficit en ozone stratosphérique au pôle nord.
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