Notamment la sécrétion excessive d’androgènes, qui produit une grande quantité de testostérone. Or, la testostérone doit être de quantité minime chez la femme.
Bien évidemment, cet excès d’hormones touche beaucoup de femmes dans le monde. Et pourtant, on en parle le moins souvent. Oui, cette maladie existe bel et bien. Kelly Vedovelli le confirme.
Le SOPK est une maladie à ne pas prendre à la légère. C’est la raison pour laquelle il mérite une attention spéciale.
Si d’autres se contentent de sa contribution à la sensibilisation de l’existence de la maladie. D’autres pensent qu’elle-même est peut-être touchée par cette chronique. Et elle souhaite partager aux autres femmes qu’elles ne sont pas les seules qui subissent ce dérèglement hormonal.
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