Comment notre cerveau nous fait tomber amoureux

Avoir un coup de foudre. Avoir des papillons dans le ventre. En pincer pour quelqu’un. Ce ne sont que quelques façons de dire qu’on est en train de tomber amoureux. Un sentiment si bouleversant qu’il fait battre notre cœur plus vite et que nos mains deviennent moites. Et même si on pense que l’amour est quelque chose qui se passe dans notre cœur, en réalité il se passe dans notre cerveau. Voici Sarah. Nous allons la suivre pour comprendre comment fonctionne la science de l’amour dans le cerveau.

Elle va à son premier rendez-vous avec un homme qu’elle a rencontré sur une appli de rencontre. Elle a passé toute la soirée à hésiter sur sa tenue. Et quand le moment est enfin venu de rencontrer son cavalier, elle se sent prise de vertiges et a des picotements dans le ventre. La plupart d’entre nous peuvent s’identifier à ces sensations, que les psychologues regroupent sous le terme d’anticipation. La science explique que c’est dû au fait que notre cerveau libère une grande quantité de cortisol, également connu sous le nom d’hormone du stress. La libération de cortisol nous fait entrer dans un mode de combat ou de fuite. Ce qui signifie que si le match de Sarah a 20 minutes de retard et qu’il n’envoie pas de SMS d’explication, elle va probablement quitter le restaurant aussi vite que possible. Le dating peut être difficile à traiter pour notre système car il est très incertain. Tom va-t-il plaire à Sarah ?

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