Des preuves suggèrent que les éléphants ont un taux de cancer relativement faible par rapport à d’autres espèces, y compris les humains. Cette observation a suscité beaucoup de recherches pour tenter de comprendre les mécanismes sous-jacents. L’une des théories avancées se concentre sur la présence de gènes suppresseurs de tumeurs. Or, selon un biologiste de l’évolution de l’Université d’Oxford, la présence de ces nombreux gènes pourrait avoir un lien avec les testicules de ces animaux.
Les cellules se multiplient alors de manière incontrôlée et forment une masse de tissu anormal appelée tumeur. Les tumeurs peuvent être bénignes (non cancéreuses) ou malignes (cancéreuses). Les premières restent généralement confinées à leur site d’origine, tandis que les secondes ont la capacité d’envahir les tissus environnants. Ce processus est appelé métastase. Les causes du cancer sont multiples et complexes, tant chez les humains que chez les autres animaux. Elles incluent des facteurs génétiques, environnementaux et comportementaux.