Pour parvenir à ces résultats, les chercheurs ont examiné des entretiens cliniques, des tests cognitifs, des évaluations mentales et comportementales, ainsi que des scanners cérébraux de 10 000 adolescents. Ils ont ensuite comparé deux groupes : ceux qui ont commencé à lire pour le plaisir entre l’âge de deux et neuf ans et ceux qui ont commencé à lire plus tard dans la vie, voire pas du tout.
En étudiant les scanners cérébraux des enfants, les chercheurs ont également constaté que ceux qui lisent pour le plaisir présentent une plus grande surface et un plus grand volume cérébral, particulièrement dans les régions liées aux fonctions cognitives.
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